Je vous salue, tous, (je n'ai pas encore vu de fille, je ne sais pas, si je peux dire toutes?) pendant les quelques qui ont suivis ma première candidature m'appercevant qu'il n'y avait pas de réponse objective à savoir si je suis accepté ou non pour entretien, j'ai décidé de recommencer une candidature, en espérant que sa ne vous dérangerez en aucun cas.
Je me représente *sourit* je suis comme personnage incarné en Ecaflip fille, timide de nature, mais j'ai cependant beaucoup de personnalité, d'attention, d'écoute à transmettre, je suis à la recherche encore et toujours d'amitié sincère, et qui pour moi, dans ce monde MMORPG DOFUS et rare. J'avoue avoir quelques lacunes à parler en RP, cependant je fais tout mon possible pour y arriver, ne serais-ce que quelques phrases.
La vraie vérité et que je pense que en devenant mercenaire, n'ayant pas trop d'amies(s), je pourrais être malgré tout au contact des personnages de ce jeu, d'une certaine façon.
Mon introduction:
Une étrange nuit d'Automne, où on pouvait appercevoir en regardant le ciel, une majestueuse pleine lune.
Une ombre déambulé vers une maison délabrait.
On pouvait soudain appercevoir que cette ombre déposa un panier devant la porte de cette maison, un bruit soudain retentit (toc, toc).
L'ombre s'en alla, tout doucement, laissant à chaque pas derrière elle, une larme.
La porte de cette étrange maison s'ouvrit.
Le visage d'une enutrof apperçait.
La vieille dame, sucrutta l'horizon, ne remarqua personne, elle prit le panier et rentra chez elle.
Elle remarqua que l'enfant était une fille et qu'elle appartenait à une classe très spécial (les Ecaflips).
Elle vu soudain qu'elle portait un pendantif, avec Aijou en inscription.
Elle prit la décision de l'appeler ainsi "Aijou".
Ma petite histoire:
Des jours et des nuits s'écoulèrent, des soleils et des pleines lunes s'appercevèrent.
Et à l'age de raison, selon moi, j'avais 6 cercle.
Je décida de travailler aux champs, tout-en tattillant les petits bouftous qui venaient manger, le blé si durement récolté.
Jusqu'aux jours de mes 18 cercle.
L'appel de l'aventure, se fit ressentir en moi, je ne rêvais que de découvrir d'autre village, culture, et d'autre adversaire, les bouftous étaient bien amusant un certain temps, je désirais affronter d'autres petites terreurs.
C'est ainsi, que le matin de mon 19 cercle, je pris la décision d'en parler à ma mère.
Notre discusion dura des heures.
Pour aboutir à ces quelques mots "ma fille malgré que je ne t'ai pas fait connaitre le jour, je t'attendrais chaque jours et ma soeur chaque nuits ton retour, en sachant que jamais tu ne reviendras, j'ai juste l'espoir que tu penseras de temps en temps à moi".
Je fis mes bagages, j'embrassa ma mère.
Et je pris la route, en direction d'un ballon gonflable qui me fit quitter ce monde-ci, pour arriver de l'autre côté des nuages.
Après avoir demander où es-ce que j'étais, je découvris que j'étais à astrub.
Je demanda également, si je pouvais trouver, un endroit ou je pourrais découvrir les métiers exercés énormément ici, on m'indiqua l'hôtel des métiers.
Une fois sur place, je me suis senti attirer par le doux métier d'alchimiste, j'ignoré tout de ce métier, j'ai passé tout mon enfance et adolescence en étant paysan.
Au fils des jours en travaillant, je ne pensais pas que ce métier était aussi facile.
N'ai en moins aux cercles 4 de ce métier, je désira m'arréter, juste le temps de découvrir les autres contrés.
Je marchais des jours entiers, des nuits de pleine lune, sans m'arrêter.
Enfin, je m'arrêtais le temps de mettre en place mon magasin et de m'allonger quelques heures, quand l'épuisement de mes jambes ce fit ressentirent.
Et puis un jour, de magnifique levé de soleil, j'apperçut un grand village, ils ressemblaient à un immense chateau fort, avec énormément de garde, à l'extérieur, qu'ainsi a l'intérieur, je pris la décision d'entrer dans ce village.
Je demanda le chemin pour aller dans une taverne, à un jeune pandawa, "jeune", il portait des équipements, que je portais autrefois pour mettre à l'honneur mon village, "un équipement piou".
Il m'indiqua la direction et me proposa également de m'accompagner.
On se dirigèrent vers la taverne.
Il m'indiqua le nom de la taverne (elle se nomme Alakarte)
Je commanda "une bière", il fit de même.
Tout-en buvant, j'entend soudain dans une conversation parler, "d'un clan de mercenaire" (se trouvant aux portes d'Astrub ) et que ce clan doit rester secret, ils ne peuvent recruter et rencontrer n'importe qui, suivant le service qu'on leur demande.
Je me posa plein de questions, en m'en donner mal à la tête.
Mais celles qui me revenaient encore et toujours été, (si je me présentais en temps que mercenaire, serais-ce possible que je puisse découvrir la vérité sur des sujets inexpliqués. Es-ce que en étant à leur côté , je pourrais avancer sur ce que fut mon passé, serais-je d'ou je venais.)
Je décida cependant de ne plus me poser ces questions et de savourer ce moment, ou je pu enfin respirer et m'arrêter de marcher un instant.
Quand soudain une orde de bandit Brakmarien envahit la taverne.
Je décida de l'ai affronter, quitte a y laisser ma vie.
Ils se joignièrent tous à moi.
Et malgré les nombreux blessés, ont obtient la victoire.
Un iop Bontarien apperçut mon courage, et me proposa de suivre les rang de bonta, *je lui parla ainsi de mes questions et je lui demanda si en intégrant ces rang je pouvais avoir une réponse à mes questions, il me répondit , seul les mercenaires peuvent t'aider, le mieux pour toi serait d'intégrer leur rang, mais pour pénétrer ce cercle, il te faudrait avant tout acquérir un peu d"expérience et je te propose de te l'apporter à nos côtés.*
J'accepta sa proposition,tout-en décidant de continuer ma route.
Je redescendit vers Astrub.
Mais malheureusement, je me remarqua que je n'ai pas pris le même chemin que à l'aller, je me retrouva devant un vieux donjon d'apparence.
J'apperçu un groupe, je m'avança et je leur demande ou j'étais.
Aucun d'être eux me répondit.
A part un sacrieur surgissant de nul part, se présentant à moi " bonjour, je m'appelle Sonaeru" il ne me dit rien de plus, je me présenta également, il m'informa que je me trouvais au donjon des blops, et que seule je ne tiendrais pas longtemps face à eux.
Il se retourna une seconde face aux groupes que j'apperçut au début de mon arrivé, il discuta avec eux, les saluèrent, et il se retourna vers moi,
et il me dis: "ils sont dacord pour que tu fasses le donjon avec eux, enfin avec nous, ce sont mes amis"
Je l'ai salua et on se mit en marche pour faire ce donjon.
L'intérieur était magnifique que ce sois le sol, ou la pièce en elle même, je n'avais jamais un endroit aussi beau.
On affronta toutes sortes de blops, je ne me rapelle plus de leur noms.
Sauf d'un seul, un adversaire qui m'avait posais des difficultés, un Gloutoblop, il était du cercle 50 avec 490 de vie.
La dernière salle, ce passa bien, je ne me rappel plus de quel salle on décida de prendre, à cause d'un évènement qui me marqua, Sonaeru me demanda de faire un bout de route ensemble après ce donjon, je lui répondit "oui".
Chacun de ses amis repartirent dans des directions opposés.
Tandis que nous redescendons a astrub.
Pendant le long est périlleux voyage que l'on entreprit on affronta des kanigrous, des abraknydes, ces combats furent durent et éprouvant, en se reposé souvent.
Et un jour en arrivant a astrub.
Sonaeru me dit soudain de m'arrêter.
Il s'approcha de moi, se mit à genoux et me dis " depuis quelques temps, je n'arrête pas de penser à la même chose, je désire me marier, et c'est que j'aimerais avoir comme femme" ne lui laissant pas finir de parler je lui répondis oui.
Le mariage ce déroula le lendemain, la salle était remplis de ses amis, les miens se fesaient inexistant, car dans mon périple je ne rencontrais chaque fois que des personnes de passage, je n'ai creer aucun lien avec eux, je n'avais jamais le temps.
Le prètre dis ses grasses, chacun de nous pronocèrent un "oui, suivis de je le veux".
Et on devena mari et femme.
Malgré tout ce bonheur, l'envie de devenir mercenaire, envahit mon esprit.
Une matinée, je décida d'en parler à mon époux, il me demanda si c'était une décision sur, je lui répondit que "oui", c'est-a lors qui me disa de le suivre.
On se dirigea devant une maison aux portes d'astrub du côté nord, il me dit d'entrer et de m'adresser à un superieur et que c'était bien ici, qu'il venait de temps en temps, et qu'il savait tant de chose à cause d' un crâ, un soir ayant trop bu, en le ramenant chez lui, lui avait raconté tout sur les mercenaires.
C'est ainsi que je rentra dans la maison, et que mon mari rentra chez nous.
J'espère que mon texte n'ai pas trop longs, la dernière fois, j'ai préféré raccourcir mon ancienne histoire, parce que quand j'écris je ne m'arrête plus.....